vendredi 30 décembre 2011

lundi 26 décembre 2011

Aveuglement volontaire


 "Ce qui me déplaçait ainsi en moi-même, c'était qu'en l'absence de tout repère familier - un paysage, une végétation, un ciel, une lumière, je ne pouvais en reconnaître aucun - j'étais déplacée vers l'exactitude dans le déplacement lui même."
La douleur du retour, Isabelle Baladine Howald.

Yann Kersalé, Œuvre : Profondeur de lames,Exposition : Sept fois plus à l'ouest

mercredi 21 décembre 2011

Voyeur et fétichiste * !

 

* fétichiste des collants à filer, des éponges à planquer sous les meubles, des trucs qui pendouillent, des pulls en laine quand on peut y planter les griffes !!
Et ce chat... ne m'appartient pas ! Je le photographie juste pour l'amadouer... ce qui ne marche pas vraiment... mais j'ai bon espoir !

mercredi 14 décembre 2011

Un monde provisoire


"La nuit était opaque, le silence également."
Plateforme, Michel Houellebecq


(sortie photographique à Pigalle avec Les Nuages Bavards )

lundi 12 décembre 2011

Sortie de secours


"Elle était là pour décrire la réalité et pas du tout pour en faire partie."
Bardo or not Bardo, Antoine Volodine


vendredi 9 décembre 2011

Architecture provisoire # 2





























Géométrie de Caoutchouc,
Chorégraphie : Aurélien Bory

mercredi 7 décembre 2011

Architecture provisoire # 1


"Je me suis inspiré des mathématiques, de la physique. Et de la géométrie de caoutchouc, c'est de la topologie, c'est à dire étymologiquement l'étude d'un lieu. Le sujet, c'est le chapiteau lui-même, dans sa malléabilité, qui renvoie à celle de l'être humain. (...) Dans mes spectacles, le corps ne parle pas, il agit."
Aurélien Bory.
Géométrie de caoutchouc.

lundi 5 décembre 2011

Quelqu'un de bien, avec vue


Juste... parce que j'ai aimé prendre cette photo, à la sortie de l'expo Diane Arbus, au Jeu de Paume.
Merci F. pour la pose, et un grand plaisir de te revoir, même si nos emplois du temps ne nous le permettent pas très souvent..

vendredi 2 décembre 2011

Les épingles


"Certains sont réveillés par le chant du coq, d'autres par un trop grand silence."
Henning Mankell, Les chiens de Riga