lundi 28 juin 2010

M. Peper et Mme Zout...

... se sont invités à ma table. J'ai fait le portrait de ce couple plastique...

IkéBé Land (suite et fin, on va pas y passer la semaine non plus ! ;-)

samedi 26 juin 2010

IkéBé Underground Color Land



Je voulais continuer mes photos par le parking orange, le vert pomme, le bleu... Bref, le total reportage, le "pack parking", en route pour le prix Albert Londres, minimum !

Mais un vigile m'est tombé dessus sournoisement. Moi : à genoux, appareil posé au ras du sol, pas vraiment en position de négocier... Lui : 1m90, baraqué, bardé de talkies-walkies, prêt à dégainer :

- Madame, c'est interdit de faire des photos ici !!
- Ah bon ? Et pourquoi ? On a peur que je copie le design des éclairages...? (avec un grand sourire...)
- C'est interdit, c'est tout !

Morale de l'histoire :
Ma liberté s'arrête là où commence celle des parkings !

vendredi 25 juin 2010

Chez l'Ami Pierre


(je ne vous montre pas le vin, ça va vous énerver et ce n'est pas bon d'être énervé le vendredi soir... Je suis une philanthrope, en fait !)

mercredi 23 juin 2010

mardi 22 juin 2010

Lumières de bal

Un vieux rêve : avoir une de ces guirlandes vertes aux ampoules colorées...

lundi 21 juin 2010

Polymère solitude


"Nous sommes tous un peu des post-humains aujourd'hui, un peu rafistolés et un peu faux."
Annette Messager

samedi 19 juin 2010

Aires de Je


(Théâtre de l'Onde - Vélizy Villacoublay)

vendredi 18 juin 2010

Transe visuelle


Ce genre de lieux me tue.
Cette beauté me bouleverse profondément.

(je n'ai pas encore trouvé l'explication psychanalytique mais j'en parlerai à mon cheval)

jeudi 17 juin 2010

Les larmes...


"Inutile de se cacher la vérité. Je ne réagis plus comme avant. Maintenant je pleure mal (...) Il faut que j'aille chez le régleur de larmes."
Antoine Volodine Des anges mineurs

mercredi 16 juin 2010

mardi 15 juin 2010

La chèvre et les prolétaires...

J'ai toujours aimé les bars vieillots, ceux où plus personne ne s'arrête..., ceux qui disparaissent...
Pas assez branchés, un peu "craspouilles", peuplés de gens à gouaille (de moins en moins...)
Parfois j'y entre seule, je ferme les yeux, et je me souviens de mon vieux Paris, celui de mon enfance, les odeurs, les sons reviennent, la chèvre, aussi...

Mon père m'asseyait sur le comptoir et je récitais à haute voix la chèvre de Monsieur Seguin, faisant pleurer les vieux prolos de la rue du vertbois.
Oui, quand j'avais 5 ans, à Paris, il y avait encore dans le 3ème, des vieux prolos qui pleuraient quand la chèvre se faisait dévorer, le matin, à l'aube...
Et moi, du haut de mon comptoir et de mes 5 ans, surplombant la marée de mégots, je me sentais la plus grande conteuse de l'univers !

Qui pleure la chèvre aujourd'hui à Paris ?...

lundi 14 juin 2010

Port-Royal des Champs : rébellion photographique

De ce lieu janséniste, je ne retiendrai que ce coin coloré et désordonné...

dimanche 13 juin 2010

Diptyque #4 (fin)


"Non, ce n'est pas encore ça... Juste un pâle reflet de ce que je voulais exprimer... Encore travailler, encore chercher.
Impuissance du dessin...mon dessin. Demain j'essaierai de peindre l'amour."
Edmond Baudoin Labo

samedi 12 juin 2010

Diptyque #3


"Quoi qu'il arrive, qu'on n'accuse personne de ma vie."
Antoine Volodine Des anges mineurs

vendredi 11 juin 2010

Diptyque #2


"Je ne plierai pas le genou devant la mort. Quand cela viendra, je me tairai, mais je dénierai toute vraisemblance à cette gueuse en approche (...) On ne clora pas mes paupières sans mon accord. Il n'y aura aucune interruption des images sans mon accord."
Antoine Volodine Des anges mineurs

jeudi 10 juin 2010

Diptyque #1



"Je crois qu'il faut s'aimer un peu pour pouvoir aimer les autres. Et je crois que pour s'aimer il faut avoir la possibilité d'aller dans ses rêves"
Edmond Baudoin Algérie

mardi 8 juin 2010

La Reine Soleil ou le romantisme hongrois

La belle artiste récite ses textes sensuels, entourée de ses photographies et pastels, avec ce charmant accent hongrois qui me transporte à Budapest dans une calèche sous la neige.
Une troisième coupe de champagne entre les mains, je n'écoute plus les mots ; seul le chant est pure vision.
Dans ma fourrure de neige, visage au vent et aux étoiles, fouette cocher ! Vite ! Rejoindre le bal : Esterhazy m'attend !

(Résolution : arrêter le champ' aux vernissages, ça me rend idiote.)

samedi 5 juin 2010

L'escalier-piano




Chopin, en boucle le soir, m'envole vers les lieux tristes et beaux,
jusqu'aux marches des fabriques de lumières obscures.